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Etre plus efficace dans la guérison

Du Héraut de la Science Chrétienne. Publié en ligne - 26 septembre 2019


Il y a peu, une praticienne de la Science Chrétienne m’a appelé pour me demander comment elle pouvait accomplir des guérisons avec une plus grande efficacité. Je lui ai répondu que c’était justement le sujet sur lequel je méditais depuis mes débuts dans la pratique publique de la Science Chrétienne.

Je suis devenu praticien pour deux raisons. En premier lieu, j’ai senti que l’approche de la guérison telle que l’explique la Science Chrétienne était ce dont le monde avait le plus besoin. C’était un ministère auquel je pouvais me consacrer sans réserve. En second lieu, j’ai senti que la Science Chrétienne présentait la vérité au sujet de la réalité, et je désirais ardemment mieux connaître cette vérité. J’ai eu le sentiment que la pratique publique me permettrait de l’explorer à fond.

Comment pouvons-nous être encore plus efficaces dans notre travail de guérison ? Pour répondre à cette question, j’ai dit à la praticienne que j’avais réfléchi à un verset de la Bible. Il est tiré d’Esaïe et cité par Mary Baker Eddy au début de son chapitre « Récapitulation », dans Science et Santé avec la clef des Ecritures : « Car c’est précepte sur précepte, précepte sur précepte, règle sur règle, règle sur règle, un peu ici, un peu là. » (Esaïe 28:10) Pour moi, cela signifie qu’il existe une solution à chaque problème au fur et à mesure que nous avançons. Je trouve cela très rassurant, car nous n’avons pas besoin de remuer ciel et terre à la recherche d’une solution pour progresser dans notre travail de guérison.

Au cours de leur voyage vers la Terre Promise, les enfants d’Israël recevaient suffisamment de manne pour satisfaire leurs besoins quotidiens. Dans une de ses paraboles, Christ Jésus déclare que, si nous sommes fidèles en peu de choses, on nous confiera beaucoup. (voir Exode 16:11-26 et Matthieu 25:21) Nous avons donc juste besoin d’utiliser les idées spirituelles qui nous sont données à chaque instant.

En harmonie avec la Bible, la Science Chrétienne offre ce message à l’humanité : Dieu est infini, l’Esprit parfait, et Sa création est intacte, spirituelle et parfaite. Elle est parfaite maintenant même. Cette création se déroule continuellement et elle est toujours bonne. Les fausses croyances du prétendu entendement mortel ont beau contredire ce fait, elles n’auront pas le dessus. Tôt ou tard nous les verrons sous leur vrai jour : fausses, illusoires, irréelles et inexistantes. A mesure que nous découvrons la vraie nature de notre existence, ces croyances faiblissent. C’est alors que la guérison se produit. Guérir, c’est découvrir la réalité.

En Science Chrétienne, il existe de multiples façons de découvrir la réalité spirituelle. Les approches pour guérir grâce à cette Science sont donc nombreuses, et chacune est parfaitement adaptée à la situation. C’est pourquoi rien ne doit jamais faire obstacle à notre travail de guérison : il n’existe pas de voies sans issue, mais seulement de nouveaux chemins permettant de progresser dans la compréhension de notre être véritable.

Considérons trois façons d’aborder la guérison et voyons comment les utiliser plus efficacement. L’une d’elles consiste à nier la réalité de la matière, mais beaucoup ont du mal à accepter cette méthode. La pensée humaine résiste et veut savoir s’il est vrai que la matière est seulement un faux concept mental et non la substance même.

Pourquoi nier la réalité de la matière dans le travail de guérison ? Parce que c’est par elle que semblent se manifester la maladie, la souffrance et la décrépitude. C’est en la niant que nous obtenons des résultats, car lorsque nous éliminons une croyance à la matière, nous enlevons l’obstacle supposé qui empêche de démontrer la perfection de la substance, de la joie, du réconfort et du pouvoir spirituels immuables. Quand nous nions l’existence de la matière, nous annulons également le facteur temps ; nous détruisons la croyance selon laquelle il existe un moment dans le temps où la maladie aurait pu commencer ou un accident arriver.

Nier la matière ne la fait pas disparaître pour autant. Nous semblons toujours posséder un corps matériel et vivre dans un environnement matériel, mais notre compréhension de la suprématie de Dieu prend le pas sur la croyance à la matière, et c’est là ce qui ouvre la voie à la guérison.

Nous pouvons renforcer notre conviction du néant de la matière en faisant davantage que de la nier : en reconnaissant par exemple que nous sommes entourés par l’amour de Dieu. De cette manière, nous ne nions pas la matière de front, même si, dans les faits, nous la nions bel et bien. Dans la mesure où nous ressentons la plénitude de l’amour divin, nous éliminons de notre pensée tout ce qui est contraire à la protection parfaite que nous accorde ce Dieu aimant. Il ne fait aucun doute que Son amour élimine la maladie, la douleur et la décrépitude. L’Amour divin l’emporte sur la croyance à la matière, et loin d’être effacé par les apparences matérielles, il efface les manifestations apparentes du mal.

Nul besoin d’accomplir un effort important ou héroïque pour démontrer le pouvoir de guérison des lois divines. Mary Baker Eddy nous a montré comment traiter progressivement les prétentions de la matière. Dans un des premiers numéros du Christian Science Sentinel, la question suivante lui fut posée : « Si toute matière est irréelle, pourquoi est-ce que nous nions l’existence de la maladie dans le corps matériel et non pas le corps lui-même ? » Ce à quoi elle répondit : « Nous nions d’abord l’existence de la maladie parce que nous pouvons plus facilement faire face à cette négation que nous ne le pouvons en niant tout ce qu’affirment les sens matériels » (La Première Eglise du Christ, Scientiste, et Miscellanées, p. 217)

Cela signifie-t-il que notre traitement ne devrait plus reposer sur la base absolue de l’irréalité de la matière ? Certainement pas, car l’Esprit est infini, il est Tout. Mais c’est en niant les états anormaux de la matière – les maladies et les infirmités – que nous en prouvons petit à petit l’irréalité.

Lorsque nous souffrons, nous tenons à voir un changement dans la matière. Je me souviens d’un jeune homme souffrant soudainement d’une plaie ouverte, inquiétante et douloureuse. Un traitement par la Science Chrétienne l’en a rapidement guéri peu de temps après. Dès notre première conversation, il m’a dit : « Je sais que je dois nier la réalité de la matière mais, bien sûr, j’aimerais que ce corps matériel, que je semble avoir actuellement, ne me cause plus aucune gêne. » Son désir était bien légitime : il avait tout à fait le droit de s’attendre à un mieux-être physique et à un état de santé normal selon la conception qu’il avait à ce moment-là de son corps. La santé découle du fait fondamental que la réalité est spirituelle, non matérielle.

Le corps est en réalité la conscience, une manifestation de la pensée. Bien que le corps semble être un objet matériel séparé de la pensée, tout est mental. Néanmoins le seul fait de reconnaître que le corps est un concept mental ne nous libère pas automatiquement de tous ses maux. Il nous faut comprendre qu’en réalité notre identité est entièrement spirituelle et qu’elle exprime les lois spirituelles parfaites de Dieu.

Dieu est le Principe divin, la source de notre être. En tant que Principe, Il S’exprime dans des lois spirituelles d’ordre et d’harmonie qui ne peuvent être renversées. Et si ces lois semblent être renversées, nous pouvons annuler cette apparence en partant de l’idée que Dieu est le seul législateur, et que rien ne nous oblige à accepter tout ce qui n’est pas la véritable loi.

On entend beaucoup parler en ce moment du lien entre le corps et l’esprit, c’est-à-dire de l’influence des pensées sur le corps. Or, ce n’est pas dans l’activité de l’entendement humain que l’on trouve refuge contre le péché et la maladie, mais dans l’Entendement divin. Cet Entendement est le seul qui soit vrai, la seule cause véritable. Il ne produit que le bien. Cet Entendement est notre véritable Entendement, il nous communique constamment des idées. A mesure que ces idées divines éclairent et corrigent notre pensée, les vues erronées, qui nous font considérer le corps comme matériel, cèdent au vrai concept du corps, dont la substance est intemporelle et indestructible, et dont l’action est continue. Mais même durant le temps que semble se dérouler ce processus de correction mental – processus que nous appelons « guérison » –, le fait que la vie n’a rien à voir avec la matière demeure la réalité, que ce soit pour vous ou pour quiconque.

C’est pourquoi le premier élément à considérer pour guérir est le suivant : la matière est irréelle, car l’Esprit est infini, la seule véritable substance. En ce moment même, notre identité est spirituelle ; le fait de le comprendre produit la guérison.

Le deuxième point que j’aimerais aborder est le suivant : vous méritez d’être guéris. On pense trop souvent que l’on n’est pas assez bon pour être guéri ou pour guérir les autres, que l’on a trop de défauts, que l’on manque de spiritualité. C’est là une prétention de la théologie scolastique selon laquelle l’homme est un mortel pécheur qui doit par conséquent être sans cesse puni. Les lois de Dieu nous libèrent de cette croyance en exposant la nature éternellement droite et spirituelle de l’homme, ainsi que Jésus l’a démontré.

Science et Santé contient cette déclaration importante concernant la guérison : « Le thermomètre moral de l’homme, montant ou descendant, indique ses capacités dans l’œuvre de la guérison et son aptitude à enseigner. » (p. 449) Qu’est-ce que notre thermomètre moral ? S’agit-il seulement de notre degré de probité humaine, ou est-ce quelque chose de plus élevé ? Il est certain que notre conduite influe directement sur notre capacité de guérison, et une saine moralité favorise toujours la guérison. Mais si nous mesurons notre valeur à l’aune d’une unité de mesure humaine, comme l’apôtre Paul nous allons avoir bien du mal à nous sentir à la hauteur. Celui-ci a compris, toutefois, que seul le pouvoir de Dieu et de son Christ permettait de se libérer du péché.

La Bible nous incite constamment à rechercher en Dieu la source de notre perfection : c’est ce que nous voyons par exemple dans la guérison accomplie par Pierre et Jean d’un homme atteint d’une infirmité congénitale. (voir Actes des apôtres 3:1-16) La Bible relate qu’après cette guérison surprenante, les gens accouraient, stupéfaits et pleins de questions. Pierre leur répondit : « Pourquoi vous étonnez-vous de cela ? Pourquoi avez-vous les regards fixés sur nous, comme si c’était par notre propre puissance ou par notre piété que nous eussions fait marcher cet homme ? » Et il leur expliqua que c’était par la foi dans le nom de Jésus-Christ, c’est-à-dire par la foi dans la nature de celui-ci, que l’homme avait été fortifié et qu’il avait reçu une « entière guérison ». Le Christ manifesté par Pierre, en rétablissant l’homme boiteux, était le même Christ qui avait permis à Jésus d’accomplir son œuvre de guérison.

Qu’est-ce que le Christ ? C’est la véritable idée de Dieu. Jésus reconnaissait qu’il ne tirait aucun pouvoir de lui-même ou de sa propre perfection. Il attribuait tout pouvoir à Dieu. Il ne se retirait pas pour autant de la scène : il considérait qu’il représentait la puissance de Dieu. Il déclara : « Le Fils ne peut rien faire de lui-même, il ne fait que ce qu’il voit faire au Père ; et tout ce que le Père fait, le Fils aussi le fait pareillement. » (Jean 5:19) Jésus accomplissait les œuvres de Dieu. Dieu n’accomplit Ses œuvres qu’avec Son représentant, Son expression spirituelle, c’est-à-dire l’homme. Celui-ci, en effet, est absolument indispensable à Dieu. Il était indispensable que Jésus représente Dieu, comme il est indispensable que nous Le représentions. Et comment Le représenter ? En exprimant Sa nature par une bonne santé morale et physique.

Pouvons-nous espérer accomplir des guérisons même si nous n’avons pas démontré la perfection ? Nous serions en bien triste état s’il fallait attendre d’avoir totalement prouvé la perfection accordée par Dieu avant de pouvoir effectuer une guérison ! La Science Chrétienne serait alors quasi inapplicable.

En quoi notre thermomètre moral influe-t-il alors sur notre capacité de guérir ? Nous permet-il de faire le bilan de nos bonnes et mauvaises actions ? En partie, bien sûr. Mais de façon plus générale, ne pourrions-nous pas le considérer comme l’unité de mesure de notre inspiration, de notre confiance en Dieu, de notre sentiment de proximité avec Lui ?

Comment faire monter notre thermomètre moral ? Par la grâce divine ; en exprimant des qualités telles que la joie, la confiance dans le bien, la gratitude et l’amour désintéressé. Qu’en est-il alors de la lutte que nous menons entre le bien et le mal ? Elle débouche sur une victoire. Quand on se réjouit, comment ressentir de l’envie ? Quand on est sûr du soutien de Dieu, comment avoir peur ou être méfiant ? Comment se plaindre si l’on ressent de la gratitude ? Lorsqu’on fait preuve d’une sollicitude désintéressée envers autrui, comment haïr ou même détester ?

Si vous avez l’impression que vous ne méritez pas d’être guéri ou si vous estimez que vos pensées ne sont pas assez spirituelles pour guérir les autres, réfléchissez aux qualités qui permettent d’accomplir la guérison. Qui a créé ces qualités ? Ce n’est pas vous, mais Dieu. Elles sont déjà présentes en vous, maintenant et à jamais, et elles ont le pouvoir de chasser tout mensonge qui voudrait altérer la santé de l’homme et sa véritable nature.

On aurait tort de penser que si l’on prie en partant de la nature impeccable de l’homme, on ne fera pas les efforts nécessaires pour effacer ses fautes et ses erreurs. Si vous affirmez honnêtement votre nature sans péché, tout élément qui entache la pureté naturelle de votre pensée continuera à se faire entendre jusqu’à ce que vous vous en détachiez. Alors il disparaîtra. Pour accéder à la vraie liberté morale, il faut prendre comme point de départ la nature impeccable de l’homme, à l’image de Dieu.

Nous lisons dans Science et Santé : « Un état mental de propre condamnation et de culpabilité ou une foi chancelante qui doute de la Vérité sont des conditions impropres à la guérison des malades. » (p. 455) Nous n’avons pas besoin de ce genre de mentalité ! Laissons plutôt le Christ élever le niveau de notre comportement et de nos actions ; cela nous donnera une plus grande liberté morale pour guérir efficacement.

Nous avons considéré jusqu’ici deux façons d’aborder la guérison : en niant la réalité supposée de la matière et en élevant notre thermomètre moral. Une troisième façon concerne l’influence qu’ont sur nous les croyances des autres. Bien sûr, il s’agit toujours de l’entendement charnel qui prétend agir directement sur nous ou par le biais des pensées d’autrui. C’est donc cet entendement que nous devons rejeter, et nous y arrivons en repoussant les différentes formes qu’il prend.

Les prophètes de l’Ancien Testament mettaient en garde les enfants d’Israël contre l’influence des croyances des populations qu’ils étaient amenés à côtoyer. Ils leur recommandaient de supprimer les bois sacrés et les hauts lieux du culte païen afin de n’adorer que Dieu seul. Lorsque les rois obéissaient à cet ordre, leur règne prospérait, et quand ils désobéissaient, le pays en souffrait. Comparons ces contrées à celles de la conscience où se trouvent les bois sacrés du culte matériel et les hauts lieux de la connaissance matérielle, susceptibles de nous faire oublier que Dieu est le seul pouvoir capable d’apporter la santé et l’harmonie. Nous sommes libres de rejeter ces influences erronées, car elles n’ont ni autorité ni pouvoir.

Dans Science et Santé, Mary Baker Eddy explique la manière dont la croyance humaine générale produit un soi-disant résultat médical : « Lorsque les malades se rétablissent en prenant des médicaments, c’est la loi d’une croyance générale, aboutissant à la foi individuelle, qui guérit ; et l’effet sera proportionnel à cette foi. Lors même que vous auriez détruit la confiance individuelle dans le médicament, vous n’auriez pas pour autant séparé celui-ci de la foi générale qu’il inspire. Le chimiste, l’herboriste, le pharmacien, le médecin et la garde-malade dotent de leur foi le médicament, et ce sont les croyances ayant la majorité qui l’emportent. » Elle conclut ainsi : « Lorsque la croyance générale attribue tel ou tel effet au médicament inanimé, le refus individuel d’y souscrire ou la foi individuelle, à moins que la Science n’en soit la base, n’est que la croyance d’une minorité, et une telle croyance est gouvernée par celle de la majorité. » (Science et Santé, p. 155)

Nous sentons-nous assaillis aujourd’hui par les discours concernant l’action de tel ou tel médicament ? Submergés même, pourrions-nous dire ! Selon le postulat de départ, l’homme est un être physique qui a besoin d’un traitement matériel pour être en bonne santé. La publicité pour les produits pharmaceutiques est omniprésente. Elle soutient la croyance que l’homme est un être physique qui a besoin de remettre en ordre sa structure chimique pour recouvrer la santé. Il n’est pas étonnant que Mary Baker Eddy ait écrit : « La croyance universelle à la physique s’oppose aux vérités hautes et puissantes de la métaphysique chrétienne. Cette croyance générale erronée, qui soutient la médecine et produit tous les résultats médicaux, agit contre la Science Chrétienne ; et il faut qu’il y ait du côté de cette Science un pourcentage de pouvoir qui l’emporte puissamment sur le pouvoir de la croyance populaire pour guérir un seul cas de maladie. » (Ibid.)

Qui détermine l’orientation des pensées dans nos sociétés modernes ? Dans l’Ancien Testament, c’étaient les rois. Les prophètes leur servaient de conseillers, mais ils ne les écoutaient pas toujours. Aujourd’hui, ceux qui comprennent la Science divine ont l’occasion d’élever la pensée collective jusqu’à la Vérité et l’Amour, au lieu de suivre la croyance publique générale. Selon la Bible, les vrais croyants sont « rois et prêtres au service de Dieu » (Apocalypse 1:6, d’après la version King James). Sur quel royaume régnons-nous ? S’agit-il d’un monde matériel en dehors de nous ou de l’univers de notre propre conscience ? C’est dans notre conscience que nous prenons nos décisions quant à ce que nous adorons et à ce que nous acceptons comme réel. Nous pouvons être aussi libres vis-à-vis de la croyance matérielle générale que nous le décidons. Nous aurions donc tort de nous alarmer des influences qui semblent contrôler la société. Mary Baker Eddy écrit : « Le Scientiste Chrétien est seul face à lui-même et à la réalité des choses. » (Message à L’Eglise Mère de 1901, p. 20) Quelle base puissante pour accéder à la liberté et à la domination !

Les scientistes chrétiens s’isolent-ils du monde pour autant ? Certainement pas ! Lorsque, dans nos prières, nous sommes seuls avec la réalité des choses, nous nous unissons à la vérité de la création divine en excluant tout ce qui lui est opposé, et cela a une influence curative sur le monde. Nous voyons les autres comme ils sont en réalité, c’est-à-dire sous le gouvernement parfait de Dieu. C’est ainsi que nous contribuons à éliminer l’influence de l’entendement charnel qui s’exerce sur eux et sur nous.

Continuons de progresser avec détermination et constance dans notre compréhension et notre démonstration du pouvoir guérisseur de Dieu. Le ministère de la guérison en Science Chrétienne est un saint travail dont Dieu garantit le succès absolu.

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